Je suis Député et je porte la voix des Ardéchoises et des Ardéchois à l’Assemblée Nationale grâce à la confiance qu’ils m’ont témoignée en 2007 et en 2012. Je sais que c’est une chance, que je veux mériter. Je le fais avec une véritable passion.
Aujourd’hui, avec Michèle Victory, nous sollicitons à nouveau la confiance des Ardéchois avec la force de l’expérience acquise à l’Assemblée Nationale et sur le terrain. Avec la même envie de nous battre pour l’Ardèche et avec les mêmes valeurs chevillées au cœur.
Mon expérience me donne la force nécessaire pour défendre l’Ardèche et les Ardéchois/es dans un monde toujours plus complexe. Député dans la majorité après l’avoir été dans l’opposition, j’ai tout mis en œuvre pour les représenter, par ma présence, mon assiduité et les fonctions que j’ai exercées à l’Assemblée Nationale notamment comme rapporteur des lois de décentralisation.
cette force, c’est aussi ce qui m’a permis et me permettra de trouver les soutiens nécessaires à la réalisation des projets de notre territoire.
Je souhaite continuer le travail que je mène.
Pour cela, il faut avoir des priorités : le soutien à l’emploi et à l’industrie, la défense des services publics, l’accès de toutes et tous à la médecine, à la santé, au numérique. C'est aussi le refus de la précarité et du déclassement social, la protection de notre environnement et de ses richesses, et la promotion de la culture et des initiatives locales pour mieux vivre ensemble.
Je sollicite la confiance des Ardéchois avec des valeurs et avec du cœur.
Je crois à l’égalité, je crois au respect et à la tolérance. Je refuse la division et les discriminations. Je suis un homme de gauche, attaché au progrès et à la solidarité.
Je sais rester fidèle à mes convictions tout en travaillant avec toutes celles et ceux qui veulent que l’Ardèche avance.
Avec ma suppléante, Michèle Victory, nous prenons l’engagement d’être encore et toujours présents, disponibles et à l’écoute. Nous le sommes aujourd’hui, nous le serons demain.
Si nous sommes candidats, c’est pour plusieurs raisons :
D’abord car nous avons travaillé :
- par notre présence sur le terrain en binôme avec Michèle et en essayant de répondre aussi souvent que possible aux invitations,
- avec notre équipe au sein de ma permanence parlementaire, où nous suivons plusieurs centaines de dossiers (surendettement, logement, complication administrative, formation…).
Ensuite, car nous avons été présents sur les dossiers :
- en accompagnant les communes et les associations pour les aider à mobiliser des fonds, à surmonter des difficultés administratives,
- par l’attribution de ma réserve parlementaire et l’obtention de subventions exceptionnelles
- 62 communes de la circonscription (sur 92) ont été aidées pour un montant total de 900 000 euros (130 000/an de réserve + des subventions exceptionnelles) auquel s’ajoute l’obtention de 700 000 euros de CNDS pour le centre aquatique d’Annonay,
- s’agissant de la réserve parlementaire, depuis 2012, son enveloppe annule est désormais répartie de manière identique entre les députés (130000 euros par député) et son usage est rendu public. C’est une avancée à souligner en matière de transparence.
- en obtenant des améliorations pour le financement des hôpitaux locaux par une modification du mode de calcul des dotations de fonctionnement de l’Etat. Sont concernés les établissements de Lamastre, St Félicien, Tournon et St Agrève, ce dernier ayant aussi bénéficié au printemps d’une aide exceptionnelle (sur deux ans) pour l’Hôpital de St Agrève à hauteur de 630 000 euros.
Je suis aussi un parlementaire très investi à l’Assemblée :
- par une présence assidue à l'assemblée, en commission et dans l’hémicycle. J’ai d’ailleurs été en 2015 un des dix députés les plus actifs,
- comme rapporteur de nombreux textes, dont deux réformes majeures pour notre organisation territoriale : la loi MAPTAM et la loi NOTRe. C’est avec fierté que dans le cadre de l’examen de ces lois, j’au su allier valeurs et consensus pour permettre leur adoption commune par la majorité de gauche de l’Assemblée et celle de droite au Sénat. J’ai cette conviction que les réformes territoriales, pour être pertinentes, doivent susciter un consensus transpartisan,
- par une spécialisation sur les collectivités et notamment leurs finances, les normes qui s’appliquent à elles, leurs compétences, leurs périmètres et le statut des élus.
Dans ce cadre, je suis heureux d’avoir obtenu la pérennisation de l’aide de l’Etat aux collectivités pour les rythmes scolaires, l’augmentation de 60% de la DETR ou encore la création du fonds de soutien à l’investissement local (1 milliard en 2016, 1,2 milliards en 2017).
- en m’impliquant aussi sur d'autres textes comme les lois relatives au mariage pour tous, à la fin de vie, à la Croix Rouge et au renforcement de ses mission pour le rétablissement des liens familiaux, ainsi que sur les textes d’actualité comme la réforme des retraites, la prolongation de l’état d'urgence, la révision constitutionnelle, la déchéance de nationalité, la loi Travail et ce, avec toujours la même ligne de conduite : la transparence sur mes positions et sur mes votes.
Je suis aussi heureux d’avoir pu m’investir et obtenir satisfaction pour la baisse de la CSG sur les petites retraites. En Ardéche, 4290 foyers en bénéficient depuis le 1er janvier 2017.Pour la revalorisation de la retraite des anciens combattants ou encore la mise en place d’un crédit d’impôt en faveur de l’emploi dans les associations qui étaient jusque-là privées du CICE.
Tout cela apporte de l'expérience et de l’expertise. Cela forge un caractère et cela donne de la force.
Tout cela, nous l'avons fait en tenant un engagement fondamental : être fidèles à nos valeurs et en même temps travailler avec toutes celles et ceux qui veulent que l'Ardèche avance :
- ici en Ardèche, comme je le fais à Annonay
- à Paris, dans la discussion franche et le débat. L'exercice n'a pas toujours été simple car le quinquennat a été compliqué; Il faut avoir des valeurs chevillées au cœur : la passion de l'égalité, la laïcité, la défense des libertés.
- avec une ligne constante : allier la liberté d'opinion et la fidélité. Je ne suis pas un adepte du chaos, de la contestation permanente, et en même temps je ne suis pas un béni oui-oui. Je l’ai montré en défendant des positions particulières sur les questions européennes, et notamment le TSCG, ou encore lors du débat sur la loi Travail et la question de la hiérarchie des normes. Je l’ai aussi fait en faisant partie des premiers à m’opposer au TAFTA, en m’opposant aujourd’hui au CETA, ou encore en portant des positions plus fortes que mon groupe politique sur les questions de société et notamment le droit de mourir dans la dignité.
Aujourd’hui, avec Michèle, nous voulons continuer car nous avons l'envie de servir l'Ardèche et ses communes, encore et encore. Nous avons l'envie de continuer à travailler sur des textes majeurs comme l’organisation des collectivités, les finances et la fiscalité locale, la décentralisation ou encore les règles d’urbanisme
Je le disais, nous avons bien évidemment des priorités propres aux besoins de notre territoire :
- la défense des services publics : hôpitaux, écoles, sécurité
Beaucoup a été fait mais nous devons continuer à nous battre pour maintenir ces services essentiels à toutes et à tous. Je suis particulièrement investi sur les questions relatives à la carte scolaire. Il faut aussi être aux côtés des fonctionnaires, beaucoup connaissent encore des conditions de travail difficiles comme les personnels hospitaliers, les gendarmes et les sapeurs-pompiers, professionnels ou volontaires.
- la lutte contre les déserts médicaux
Ce sujet s’impose en Ardèche comme ailleurs comme une priorité et si nationalement, il faut former plus de médecins, nous devons aussi agir localement car la formation prend du temps et les besoins sont pressants
- l'amélioration des infrastructures et notamment la question des ponts, que ce soit dans le cadre de la construction du nouvel échangeur autoroutier avec le besoin d’un pont entre Sarras et Serrières, comme à hauteur de l’agglomération valentinoise et de Guilherand-Granges. C’est aussi l’attention qu’il faut porter au fret ferroviaire en vallée du Rhône afin d’améliorer la sécurité et le cadre de vie des riverains et pour cela nous opposer au CFAL même si rien ne sera réalisé avant 2030.
- le soutien à l'agriculture, tant pour la préservation des terres arables face à l’urbanisation comme face aux excès de réglementation, que pour faire face à un certains nombres de difficultés et/ou de parasites. Il faut aussi protéger notre patrimoine et notre savoir-faire viticole.
- l'accompagnement des projets locaux qui sont nombreux et notre expérience nous permettra d’être encore plus efficaces aux côtés des acteurs locaux.
Aujourd’hui, je me sens plus fort, plus expérimenté, plus ancré dans le territoire
J’ai la chance de pouvoir compter sur une équipe engagée, au premier rang de laquelle Michèle Victory, ma suppléante, avec qui nous voulons continuer avec de la force et avec du cœur, au service des Ardéchois.
Nous travaillerons avec la même méthode : la même présence, la même disponibilité, et la même transparence dans nos engagements et dans les positions que je défends à l’Assemblée.
J’ai la chance de pouvoir et savoir travailler avec tous les élus de notre territoire, au-delà de nos parcours, de nos sensibilités, et rassemblés autour de l’intérêt général.
J'ai la chance de servir un territoire où je suis né, où j'ai grandi et où j'ai construit ma vie.
L'Ardèche est ma passion, Annonay ma ville. Je suis heureux ici et heureux de porter la voix de l’Ardèche.
Olivier Dussopt
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