Le Gouvernement a présenté aujourd’hui le plan de soutien au secteur automobile annoncé par le Président de la République.
350 millions d’euros de crédits seront réorientés pour aider les constructeurs à innover et pour soutenir les sous-traitants et les distributeurs. Cette somme importante s’inscrit dans une action cohérente, en lien avec les pôles de compétitivité, la Banque publique d’investissement, la Banque européenne d’investissement et l’Union européenne.
Avec ce plan, nous sommes bien loin du laisser-faire de la droite qui se contentait de verser des aides sans contrepartie. Leur politique a coûté cher sans que jamais l’efficacité des dispositifs mis en œuvre ne soit vérifié. Voilà pourquoi une évaluation périodique de la dépense publique est intégrée à ce plan. C’est une garantie de saine gestion des finances publiques.
Il s’agit d’un plan de grande envergure et d’une réponse cohérente et organisée à l’ensemble des problématiques du secteur automobile. Cette réponse s’inscrit pleinement dans le nécessaire effort de conversion écologique de cette industrie qui est une garantie de pérennité et d’avenir du secteur.
Avec ce plan, c’est l’ensemble de la chaîne de production et de commercialisation des véhicules qui est concernée : de l’investissement dans la R&D à la fin de vie des véhicules (avec l’industrie de la déconstruction et du recyclage), en passant par la surveillance des accords commerciaux ou encore le soutien aux véhicules plus respectueux de l’environnement.
Le véhicule propre doit devenir un objet de la vie quotidienne des Français, leur permettant de limiter leurs dépenses liées au prix de l’essence. C’est un enjeu essentiel pour le pouvoir d’achat
Ce plan de soutien, c’est donc une stratégie globale, cohérente mais aussi innovante pour l’industrie automobile et pour les utilisateurs de véhicules.
Le gouvernement est donc pleinement dans l’action
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