Olivier Dussopt prend acte du résultat des élections régionales en Auvergne-Rhône-Alpes et il adresse ses félicitations républicaines aux nouveaux élus. Si les résultats en Ardèche, comme dans la Drôme, l’Isère et le Puy-de-Dôme sont favorables à la liste emmenée par Jean-Jack Queyranne, cela ne suffit pas à reconduire une équipe régionale et ce, malgré un bon bilan au service de tous les territoires. Il prend acte aussi, et avec satisfaction, du très bon résultat sur la Ville d’Annonay où la liste de Jean-Jack Queyranne l’emporte avec plus de huit points d’avance. Il salue le travail énorme accompli par Jean-Jack Queyranne depuis 2004 au service de la Région et de l’Ardèche, travail relayé et amplifié en Ardèche par les conseillers régionaux autour d’Hervé Saulignac.
Une nouvelle majorité s’installe et un nouveau président de Région sera élu. Olivier Dussopt sera particulièrement attentif au respect des territoires ruraux et péri-urbains, et notamment ceux qui comme l’Ardèche ont exprimé d’autres attentes. C’est avec un état d’esprit constructif mais aussi une très grande vigilance qu’il veillera au respect aussi des engagements pris par la Région et à la mise en œuvre des projets d’ores et déjà programmés dans les lycées, dans le domaine associatif, pour le soutien à la culture. Le contrat de plan Etat/Région récemment signé porte des engagements forts pour l’Ardèche notamment en matière d’infrastructures routières. Ils devront être mis en œuvre. Le Nord Ardèche doit bénéficier des mesures prévues dans le contrat de plan et Olivier Dussopt défendra les intérêts de notre territoire à chaque instant.
Au niveau régional et national, la gauche et les démocrates doivent désormais préparer l’avenir et se rassembler autour d’un projet pour notre nouvelle grande région. Cela passera par un renouvellement des hommes et des femmes qui portent nos valeurs, mais aussi par une nouvelle manière de faire. Rien ne serait pire pour Olivier Dussopt que les résultats du second tour effacent ceux du premier. La colère, l’urgence sociale, le sentiment d’abandon et de déclassement sont des réalités à regarder en face. La responsabilité des hommes et des femmes politiques est immense pour apporter des réponses et veiller à une meilleure représentativité. La République doit être plus qu’une incarnation. Ce doit être une réalité quotidienne, l’égalité partout et à chaque instant, la prise en compte de chacun dans un projet collectif.
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