S’il est un sujet consensuel dans la presse, c’est celui de l’attractivité économique et des indicateurs de bonne gestion de la Région Rhône-Alpes. Une façon de saluer le bon bilan de Jean-Jack Queyranne ainsi que l’action qu’il a menée auprès des Rhônalpins. C’est la démonstration que le dénigrement auquel se livrent certains candidats depuis le début de la campagne électorale ne s’appuie sur aucun élément sérieux ni crédible.
La vérité, ce sont des experts et les journalistes indépendants qui la publient :Début novembre, le magazine Capital affirmait que la Région Rhône-Alpes figurait dans le trio de tête des Régions les mieux gérées de France, sur la base d’une enquête relative à la période 2010-2015.
Le très sérieux Institut Montaigne confirme ces derniers jours ce bilan positif en titrant dansLe Monde du 27 novembre 2015 : « Rhône-Alpes : une Région attractive et économe ».
Tout d’abord, un constat de bonne santé économique pour notre région qui compte « d’avantage d’emplois, des inégalités moins marquées ». « …depuis la sortie de la récession de 2009 : l’emploi croît deux fois plus rapidement en Rhône-Alpes que l’ensemble du territoire. Les inégalités de revenus dans la région Rhône-Alpes sont plus faibles que dans les autres. » La Région, première autorité compétente en matière de développement économique, a amplifié ces résultats. Nous tenons d’ailleurs à saluer la réactivité de nos entreprises rhônalpines, de leurs dirigeants et de leurs employés.
Deuxièmement, la confirmation que les finances régionales sont saines : « Grâce à la faiblesse de ses frais généraux et du coût de sa dette, la Région Rhône-Alpes consacre plus de 70% de son budget à ses missions principales (transport, formation professionnelle et apprentissage, lycées) ». Une analyse qui corrobore celle de l’agence Standards & Poors : « Nous considérons que la gouvernance et la gestion financières de la Région sont fortes grâce à la volonté clairement affichée de maîtriser les dépenses de fonctionnement afin de maintenir une épargne brute assez élevée » (juin 2015).
Troisièmement, l’Institut Montaigne rappelle que « contrairement à d’autres Régions, la Région Rhône-Alpes n’a institué aucune taxe sur les permis de conduire ».
Enfin, le diagnostic souligne que « la Région Rhône-Alpes se caractérise par un niveau général de dépenses peu élevé : les dépenses par habitant s’élèvent à 366€ par habitant en 2013, ce qui fait de la Région Rhône-Alpes la deuxième Région la moins dépensière de France, proportionnellement au nombre d’habitants. » Quant aux frais de personnel, ils demeurent « à un niveau nettement inférieur à la moyenne française : 37€ contre 47€ par habitant. »
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