Olivier Dussopt, député de l'Ardèche

Premier tract des élections législatives - L'avenir en mouvement

Retrouvez notre premier tract pour les élections législatives :  "l'avenir en mouvement".

Notre démarche d'inscrit dans le cadre de celle de Ségolène Royal. Nous avons attendu la fin des débats participatifs pour donner nos priorités et annoncer officiellement notre candidature. Notre projet pour le Nord Ardèche sera décliné, détaillé, au cours de la campagne et dans le deuxième tract.

Olivier Dussopt

PS : dernière minute, Didier Guillaume, Président du Conseil Général de la Drôme nous fera le plaisir d'être présent lors de la réunion publique organisée le 20 mars à Guilherand Granges, espace Agora, sur le thème de l'emploi et du pouvoir d'achat.

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C'est parti pour Olivier Dussopt et Michèle Victory - Le Réveil du Vivarais du 2 mars 2007

Une campagne peut en cacher une autre. Le lancement de la campagne des élections législatives est d'actualité depuis quelques semaines du côté du Parti Socialiste ardèchois, et notamment pour la deuxième circonscription de l'Ardèche.

Lundi 26 février, Olivier Dussopt, conseiller régional, 28 ans, candidat titulaire du Parti Socialiste, et Michèle Victory, adjointe au maire de Tournon sur Rhône, 48 ans, suppléante, ont fait part officiellement de leur candidature. Ce n'est pas un scoop. Nous avions rencontré longuement Olivier Dussopt sur le sujet de la présidentielle puisqu'il est le porte-parole de Ségolène Royal pour le Nord Ardèche. Investis par le PS, les deux membres du PS Ardèche Nord bénéficient du soutien du Parti Radical de Gauche (Christiane Taubira) et du Mouvement Républicain et Citoyen (Jean-Pierre Chevènement). Pour cette campagne, les deux représentants du PS savent qu'ils peuvent compter sur le soutien de nombreux élus lcoaux et de nombreux habitants prêts à travailler au développement du Nord Ardèche.

L'avenir en mouvement

"Beaucoup nous disent leur volonté que le Nord Ardèche trouve enfin un porte-parole capable de réunir les acteurs locaux et de fédérer leurs initiatives" explique Olivier Dussopt "C'est pour cela que nous sommes candidats à cette élection législative. Nous voulons apporter des réponses aux difficultés rencontrées par le Nord Ardèche et redonner confiance en notre territoire".
Un premier document de campagne est pret avec ce qui sera le mot d'ordre de cette campagne : "l'avenir en mouvement".

"A travers cette expression, explique le jeune conseiller régional, nous voulons souligner les atouts et le potentiel de notre territoire ainsi que la nécessité de tous les mobiliser pour réussir ensemble. Evidemment, notre candidature s'inscrit dans la démarche de Ségolène Royal, c'est aussi pour cela que nous avons attendu la fin des débats participatifs pour annoncer nos priorités et les grandes lignes de notre projet."
Un projet qui sera détaillé pendant la campagne, avec des déclinaisons locale, et lors de l'ouverture de la future permanence rue Boissy d'Anglas, dans une quinzaine de jours.

L'emploi, le maintien des services publics, l'amélioration du cadre de vie

Pour relever les défis qui les attendent, les deux candidats du Parti Socialiste ont ciblé trois priorités : l'emploi et le pouvoir d'achat, le maintien des services publics et des solidarités, l'amléioration du cadre de vie (culture, logement, environnement). C'est ce projet qu'Olivier Dussopt et Michèle Victory porteront et défendront dans les prochaines semaines.
article de GP

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Olivier Dussopt et Michèle Victory entrent en scène - Le Dauphiné Libéré du 1er mars

Membres du Parti Socialiste et soutenus par le Parti Radical de Gauche et le Mouvement Républicain et Citoyen, Olivier Dussopt et Michèle Victory, suppléante, se lancent dans la campagne des élections législatives de juin prochain dans la 2e circonscription de l'Ardèche. Cette dernière est actuellement détenue par le député-maire d'Annonay, Gérard Weber (UMP).

Conseiller régional, Olivier Dussopt, 28 ans, habite Annonay et travaille au développement du Nord Ardèche. Une action qu'il aimerait poursuivre en tant que député afin que "le Nord Ardèche retrouve du dynamisme, de l'espoir et que nous puissions mieux y vivre". Dans cette tache, le jeune homme dit pouvoir compter sur le soutien de nombreux élus locaux. Derrière le mot d'ordre "l'avenir en mouvement" et aux côtés de sa suppléante, Michèle Victory, 48 ans, 2e adjointe de Tournon sur Rhône, Olivier Dussopt poursuivra trois priorités pour relever ces défis nord-ardéchois : l'emploi et le pouvoir d'achat, le maintien des services publics et des solidarités, l'amélioration du cadre de vie, via la culture (thématique chère à Michèle Victory, enseignante en anglais en lycée professionnel). L'ouverture de leur permanence, rue Boissy d'Anglas, se fera dans les prochaines semaines.
article de A.-E.R.

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Carnet de campagne, Tournon le 1er mars

Ce soir s'est déroulée la première réunion publique de la campagne à Tournon sur Rhône, sur le thème de la répartition de la richesse.

J'étais présent avec Michèle Victory, ma suppléante pour les élections législatives. Près de 80 personnes avaient répondu à l'invitation de la section PS de Tournon et de Jean Faure, son secrétaire qui est aussi 1er adjoint au Maire.

On a d'ailleurs noté la présence de Jean Pontier, Maire, et de Maurice Quinkal, Vice-président du Conseil Général, tous deux venus témoigner leur soutien et illustrer le rassemblement de nos partis respectifs derrière Ségolène Royal.

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Communiqué de presse : un pacte présidentiel qui répond au besoins du Nord Ardèche

Ségolène Royal a pris le temps de l’écoute, elle a entendu ce que les Français souhaitent pour améliorer leur vie quotidienne à l’occasion de presque 6 000 débats organisés partout en France. En Ardèche, ce sont 22 débats qui ont eu lieu, réunissant plus de 1500 personnes, dont 8 débats en Nord Ardèche.

De cette phase d’écoute est né le Pacte Présidentiel composé de 100 mesures. Les engagements de Ségolène Royal correspondent aussi aux besoins des Nord Ardéchois.

 

Ainsi, l’agence de réindustrialisation sera utile à nos territoires touchés par la crise du textile et les plans sociaux dans l’industrie, afin de reconvertir les friches industrielles.

 

Beaucoup de salariés en Ardèche ont des compétences très pointues, très spécialisées et du coup, ont des difficultés à trouver un autre emploi en cas de licenciement. La mise en place de la sécurité sociale professionnelle leur permettra de se former à un autre métier, de passer d’un secteur à l’autre sans passer par la case du chômage.

  La suite en à télécharger en PDF

L'intégralité de l'émission de TF1 avec Ségolène Royalanti_bug_fck

Communiqué de presse du 7 février 2007 - législatives de juin 2007

Jean Pontier m’a informé du retrait de sa candidature et de son soutien pour les élections législatives de juin 2007, auxquelles nous nous présenterons avec Michèle Victory, Adjointe à Tournon, comme suppléante.

 

Sa décision permet un large rassemblement autour du projet que nous voulons porter pour le Nord Ardèche. Son expérience, notamment comme Député de notre circonscription de 1997 à 2002, sera utile et précieuse. Son soutien illustre aussi la qualité des relations nouées entre le Parti Socialiste et le Parti Radical de Gauche en Ardèche.

 

Le développement de l’emploi, le maintien des services publics, l’accès au logement et à la culture, la protection de l’environnement, ont toujours été les priorités des forces de gauche en Nord Ardèche. Avec le soutien du PS, du PRG et du MRC, ce sont ces valeurs que nous porterons car elles sont autant de conditions essentielles à une vie digne pour toutes et tous.

 

Avec Michèle Victory à mes cotés, son expérience et son engagement au quotidien, je serai le candidat du mouvement et du renouveau en Nord Ardèche.

 

En effet, c’est uniquement par le développement de notre territoire, par la valorisation des ses atouts, qu’il sera possible d’améliorer la vie quotidienne des habitants du Nord Ardèche. Ceux-ci sont nombreux à dire leur volonté de trouver, enfin, pour le Nord Ardèche un porte-parole capable de les écouter, de les comprendre, de réunir les énergies et de fédérer les initiatives pour que notre territoire retrouve confiance en son avenir. C’est le sens de notre candidature.

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Encore un mauvais budget pour l'Etat

Le gouvernement se dit très fier de son projet de loi de finances (PLF) 2007, le dernier de la législature. Pourtant, ce budget ne résiste guère à l'examen critique de ses principales dispositions.
   

Si l'on s'en tient aux chiffres, le déficit budgétaire s'élèvera à 41,6 Mds € en 2007 contre 42,7 Mds € en 2006. Mais en points de PIB, le déficit public s'élève à 2,5%, soit un niveau équivalent à celui évalué pour 2002 dans le cadre de l'audit des finances publiques commandé par Raffarin à son arrivée à Matignon. Il n'y a donc eu aucun progrès en matière de maîtrise des déficits entre 2002 et 2007. De surcroît, cette diminution résulte quasi mécaniquement du surplus de recettes fiscales non prévues en 2006 (plus de 5 Mds €), dont 3,9 Mds ont été utilisés pour financer la baisse liée à la refonte du barème de l'impôt sur le revenu, ciblée sur les 10% de ménages les plus riches. 5Mds – 3,9Mds = 1,1 Md, c'est-à-dire la baisse annoncée du déficit 2007 par rapport à 2006

 

Une dette publique en explosion

 

A ce niveau de déficit, on stabilise juste la dette de l'Etat sans commencer à la rembourser. Or la droite est responsable d'une hausse sans précédent de la dette publique (+30% en cinq ans) alors que la gauche l'avait stabilisée à 57% du PIB (878 Mds €). Depuis 2002, chaque Français a vu « sa dette » augmenter de 2 700 € . Pour la quatrième année consécutive, la France ne respecte pas le plafond de 60% fixé par le traité de Maastricht, sans que ce déséquilibre financier profite à l'avenir (recherche, investissement, etc.). Certes, le niveau d'endettement baisse légèrement en 2007 : 63,6 % du PIB, contre 66.6% fin 2005. Mais cette diminution est optique : le gouvernement ne l'obtient qu'en modifiant les règles de la gestion de trésorerie de l'Etat (la diminution drastique de la trésorerie de précaution que doit conserver l'Etat pour régler ses emprunts, procédé qu'Alain Lambert, prédécesseur de J. F. Copé a qualifié de « tripatouillages » et de « manipulations ») et en y affectant des recettes exceptionnelles de privatisation ! L'Etat aura récupéré environ 17 Mds € en 2006 en vendant les « bijoux de famille », au premier rang desquels les sociétés autoroutières.

 

A qui profite la réforme fiscale ?

 

Pas au contribuable moyen, pour qui la facture ne cesse de croître…

 

Le candidat Chirac avait promis une baisse de 30 % des impôts. Jean-François Copé a beau se féliciter des 23 Mds d'€ d'allégements d'impôts intervenus au cours de la législature, la vérité est que le taux de prélèvements obligatoires n'a cessé de croître, passant de 43,1% du PIB en 2002 à 43,7% en 2007, alors qu'il avait baissé entre 1998 et 2001. Sous la droite, chaque foyer fiscal a vu son prélèvement augmenter en moyenne de 531 €. Comment est-ce possible ? Selon M. Copé, la faute en revient aux régions, sous entendu de gauche, qui ont augmenté la pression fiscale locale. Mais n'oublions pas que l'accroissement de la pression fiscale locale s'explique en grande partie par les transferts de compétences décidés parla droite dans le cadre de la décentralisation, que l'Etat doit près de 2 Mds € aux collectivités et qu'enfin le poids des régions dans la hausse de la fiscalité locale est très marginal par rapport à celui des départements et communes, toutes couleurs politiques confondues…

   …Mais très certainement aux Français les plus aisés

Sur l'ensemble de la législature, on peut chiffrer à environ 10 Mds € les cadeaux fiscaux ciblés sur les plus riches. Depuis 2001, le coût de ces « niches fiscales » pour le budget de l'Etat a augmenté de 20%. Pour le seul PLF 2007, la baisse de l'impôt sur le revenu est concentrée à 63% sur les 10% des foyers les plus aisés. Pire, les 1% les plus riches capteront 30% du gain de la réforme, soit 1,2 Mds €, alors que les 10% les plus pauvres devront se contenter de 2% des gains !!! C'est une nouvelle politique de redistribution : prendre aux pauvres pour donner aux riches. Ne parlons pas de l'instauration du « bouclier fiscal », qui, en permettant aux redevables de l'ISF de voir plafonnée leur imposition totale (ISF + IR + Impôts locaux) à 60% de leurs revenus, offre aux 10 000 plus gros contribuables un cadeau de 250 M€. Cette niche fiscale coûtera près de 400 M€ à l'Etat. On peut encore citer la remise en cause des droits de succession, qui ne bénéficie qu'à moins de 20% des ménages, la baisse de la fiscalité sur les plus-values , décidée par Nicolas Sarkozy, et qui représente l'équivalent d'une baisse de 2 points du barème de l'IR…

 

Le pouvoir d'achat n'est pas une priorité de la droite ! 500 M€ pour le doublement de la prime pour l'emploi : à comparer d'une part aux 9 millions de bénéficiaires, soit une augmentation de 53 € en moyenne et d'autre part, aux 100.000 bénéficiaires des 400 M€ du « bouclier fiscal », soit un allègement moyen de 4.000 €… Quant aux crédits consacrés à l'éducation, la recherche, l'emploi et le logement, ils diminuent de 231 M€ en 2007 (-0,2%)…anti_bug_fck

Nouveau Conseiller Régional, Olivier Dussopt inquiet par la montée de la pauvreté – le Dauphiné Libéré le 20 octobre 2006

Nouveau conseiller régional, après avoir succédé à Hélène Mira démissionnaire, l’annonéen Olivier Dussopt a attendu que l’assemblée régionale ait effectivement repris ses travaux pour communiquer sur les orientations qu’il entend donner à son mandat. Et après la session plénière, où il a siégé dans les commissions : formations initiales et lycées, développement rural et agriculture, énergies et énergies renouvelables, tourisme et montagne, il évoque ses inquiétudes face à la montée de la pauvreté.

 

Olivier Dussopt a obtenu d’être le rapporteur du contrat de pays Ardèche Verte, ainsi que le mandat de président du comité territorial emploi et formation Ardèche Verte.

 

Et, au titre de ses délégations, comme des prises de contact avec les élus et les administrations, le nouvel élu annonéen estime « qu’on doit revaloriser le travail, mieux le rémunérer. Dans le Nord Ardèche, les chiffres du chômage ont baissé moins vite qu’ailleurs » explique Olivier Dussopt en citant le Préfet. « Le bassin d’Annonay perd des emplois même si l’ANPE fait des tours de passe-passe pour renvoyer du monde… Tous ceux qui sont inscrits au RMI ne sont plus inscrits au chômage ».

 

 

Une autre conception de la politique

 

Dans ce secteur en crise de l’emploi, pour lequel il est déterminé à se battre, le jeune élu estime que « c’est une faute majeure que d’être passé à côté du pole de compétitivité … ». Abordant le projet de Marenton, il se positionne nettement en soulignant « Quand je vois ce que dit la Fédération des Commerçants, c’est une arlésienne qui paralyse le bassin annonéen, et qui bloque tous les autres projets de développement économique… ».

 

Francis Gruzelle

 

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Récemment installé conseiller régional, le jeune socialiste Olivier Dussopt rêve de l’'Assemblée Nationale

La démission d’Hélène Mira, Maire d’Arcens de son poste de conseillère régionale, est arrivée à point nommé pour Olivier Dussopt, secrétaire départemental adjoint du Parti Socialiste ardéchois. Suivant sur la liste des régionales, il a récemment été installé et a pu suivre sa première session plénière les 12 et 13 octobre derniers.

 

Benjamin de l’Assemblée régionale, l’annonéen, âge de 26 ans (NB rectificatif : 28) siège dans quatre commissions : formations initiales et lycées, développement rural et agriculture, énergies et énergies renouvelables, tourisme et montagne.

 

Olivier Dussopt est le rapporteur du contrat de pays Ardèche Verte, nommé par le président du conseil régional et assumant ainsi l’interface entre la Région et le syndicat mixte. Il est également président du comité territorial emploi et formation. On retrouve l’élu socialiste dans plusieurs structures externes en tant que titulaire ou suppléant (lycées, CFA…). « Pour bien débuter mon mandat, j’ai rencontré un grand nombre d’acteurs, chambres consulaires, sous-préfet, élus locaux… » Il ajoute « le seul qui n’ait pas donné suite à ma proposition d’entretien est le député maire d’Annonay, alors que la Région peut largement intervenir, notamment au niveau de la communauté de communes ».

 

Une réponse négative qui peut s’expliquer par la désignation par le Parti Socialiste d’Olivier Dussopt comme candidat aux prochaines législatives de 2007. Dans cette campagne il sera accompagné de Michèle Victory, adjointe au maire de Tournon.

 

Déjà dans son rôle de candidat, Olivier Dussopt s’inquiète de la crise économique que traverse le bassin annonéen. Il dénonce les occasions ratées pour l’économie en Ardèche verte « les acteurs locaux s’entêtent à ne rien faire. On a manqué les pôles de compétitivité, les pôles d’excellence rurale, le contrat de site, le plan CIAT Nord Ardèche, le plan ANRU abandonné sur Annonay… Il n’y a pas de véritable porte-parole du territoire à Paris ». Olivier Dussopt ajoute « les habitants du Nord Ardèche devront choisir s’ils veulent un député présent sur le terrain et qui connaisse ses dossiers, un député qui les écoute puis défende leurs intérêts à Paris ». Enfin, Olivier Dussopt annonce son soutien à la candidature de Ségolène Royal dans la course à l’Elysée : « Il ne s’agit pas de battre la droite mais de gagner les élections. Ségolène Royal est celle qui a le plus de chances de gagner. Elle incarne la nouveauté en n’hésitant pas à aborder des thèmes que les socialistes ont abandonnés : la nation, la sécurité, la revalorisation du travail… ».

 

Jean-Pierre Bouaffaranti_bug_fck

Le Projet Socialiste pour la santé et la jeunesse

Régulièrement, un volet du Projet Socialiste pour 2007 « Réussir ensemble le changement » sera présenté dans ses grandes lignes. Pour en obtenir la version intégrale, vous pouvez le consulter sur www.parti-socialiste.fr, il est aussi disponible en librairie.

 

Pour le financement et le chiffrage du coût de ce projet : cliquez ici.

 

Ce qui va changer pour la santé :

L’hôpital public verra ses moyens augmentés, tout comme les moyens de la santé scolaire, alors que la Droite a toujours favorisé les établissements privés.

 

Les personnes âgées dépendantes seront mieux prises en charge : assistance à domicile, structures collectives… Une assistance médicale en fin de vie sera rendue possible pour les personnes incurables ou en phase terminale qui souhaitent mourir dans la dignité.

 

Un grand plan de prévention et de santé publique sera lancé, la Médecine du Travail deviendra un service public pour être indépendante des employeurs.

 

Un plan d’éducation alimentaire sera mis en place dans les écoles pour lutter et prévenir l’obésité.

Ouverture de 500 maisons de santé.

 

 

 

Sur un même lieu, des professionnels de santé seront réunis pour permettre aux

 

 

 

patients de trouver toute l’offre de soin de premier niveau. Cela permettra de

 

 

 

mieux répondre à la demande des malades et de gérer les gardes médicales.

 

 

 

Ces maisons seront prioritairement implantées en zones rurales et sous-médicalisées.

Ce qui va changer pour la jeunesse :

La scolarité sera obligatoire dès l’âge de trois ans. Les moyens financiers seront prioritairement placés sur les établissements en difficulté et pour éviter le décrochage scolaire.

 

Les parcours scolaires dans l’enseignement professionnel seront valorisés et rendus plus accessibles par une coordination de tous les moyens et de toute la filière, du CAP aux formations supérieures.

 

Une allocation d’autonomie et d’entrée dans la vie active individualisée sera attribuée aux jeunes pour leur permettre daller au bout de leurs études et de s’insérer dans le marché du travail sans subir la précarité.

 

Un service civique obligatoire sera mis en place.

Un service public de la petite enfance.

 

Ce service accessible dès deux ans permettra aux parents de mieux concilier

 

leur vie professionnelle et leur vie familiale. Il offrira aux enfants les mêmes

 

chances et leur proposera un encadrement pédagogique, médical et culturel.

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