Olivier Dussopt, député de l'Ardèche

Un week-end de rentrée en Nord Ardèche

Ce week-end fut un véritable week-end de rentrée. Dès vendredi après-midi, j'ai pu visiter la Maison d'Assitantes Maternelle de Champis, au coeur du hameau de Garnier qui est l'un des 72 hameaux qui constituent cette commune du plateau de Crussol. Une belle initiative de la commune et d'une association d'assistantes maternelles qui permettra l'accueil, à terme, d'une quinzaine d'enfants.

C'est ensuite à Toulaud que je me suis rendu pour inaugurer la nouvelle bibliothèque municipale. L'occasion pour moi de rappeler que d'une part, j'ai participé à son financementfrace aux fonds parlementaires, et d'autre part et surtout, l'importance de la lecture publique pour l'éveil de tous et l'égalité des chances.

Aux alentours de 21h avec plusieurs membres de mon équipe municipale, nous avons assisté à la première projection de la télévision associative initiée par la MJC, avant une séance de cinéma en plein  air au cour de la cité de Lapras à Annonay.

Le samedi matin, c'est à Quintenas que nous étions nombreux pour inaugurer les aménagements de la place du Pontet, la déviation tant attendue des qintenassiens et qui permettra plus de sécurité, mais aussi la nouvelle épicerie et le transfert de la mairie dans de nouveaux locaux fonctionnels et rénovés. Une belle opération au coeur d'un village voisin d'Annonay.

En soirée, avec Jean-Claude Tournayre, président de la CCBA, nous avons inauguré le nouveau sol du gymnase de Déomas, gymnase relevant désormais de la CCBA mais pour la rénovation duquel la Ville d'Annonay a versé un fond de concours de 30000 euros. Choisi en lien avec le ckub de Basket, aux normes de la N1 en cas de montée, il fait le bonheur de tous les pratiquants tant du club que des autres disciplines hébergées dans le gymnase.

Enfin, le dimanche nous a rassemblé à St Peray pour la traditionnelle fête du jumelage et des vins, avant que je puisse rejoindre le concours de labour qui se déroulait, comme chaque année, à Peaugres.

Un week-end chargé, plein de rencontres, qui marque la rentrée en Nord Ardèche!

Au coeur de l’Ardèche verte, des agriculteurs ont choisi le collectif!

Au cœur de l’Ardèche verte, sur les flancs de la vallée du Rhône, un groupe d’agriculteurs travaillent en collectivité depuis quelques années. Pour répondre à un appel à projet lancé par l’Agence de l’Eau, sur le thème de la réduction des pesticides, 52 exploitants et un conseillé privé ont monté un GIE : Groupement d’Intérêt Économique.

Le Ministère de l'Agriculture les met à l'honneur sur son site internet. Je suis heureux de les accompagner à chaque fois qu'ils me sollicitent, tant dans le cadre du pays de l'Ardèche Verte que comme parlementaire.

Regroupant des exploitations d’orientations différentes (polyculture-élevage, arboriculture, viticulture), ce groupe de travail a permis le financement de matériel de désherbage mécanique, nécessaire pour réduire l’usage des pesticides, et changer les pratiques agricoles.

Mais l’implication des agriculteurs dans une démarche environnementale ne s’est pas arrêtée là : ceux qui le pouvaient ont converti leur exploitation en Bio. Et ce, grâce à des visites groupées chez d’autres exploitants Bio de la région, qui les ont convaincu par « l’exemple qui fonctionne ». Cependant, ceux qui ne pouvaient pas se convertir au Bio ont poussé la démarche écologique aussi loin que possible.

L’évolution des pratiques agricoles n’a pas été facile : du travail, des discussions et l’appui du conseiller ont permis la maitrise et l’apprentissage des techniques et technologies.

C’est également de la discussion que sont nés d’autres projets au sein du GIE. En effet, une dessileuse mélange et distribue les aliments pour 8 cheptels de montbéliardes, tandis qu’une unité de méthanisation traitera les effluents d’élevage en produisant de la chaleur d’ici fin 2013.

Cette dynamique territoriale ne cesse d’évoluer. Les membres du GIE DAD songent déjà de nouveaux achats communs : une broyeuse, une épareuse et des filets pour les fruitiers seront en effet nécessaires. Ils réfléchissent également à la mise en place d’un plan d’action « autonomie alimentaire » pour leurs animaux.

La culture! Encore et toujours la culture - labellisation du SOAR comme Centre National des Arts de la Rue

Le Secteur Ouvert des Arts de la Rue, association bien implantée sur le bassin d'Annonay, vient d'accéder à une reconnaissance nationale importante. En effet, Aurélie Filipppetti, Ministre de la Culture, vient de lui attribuer le titre de centre national des arts de la rue. Cela fait du SOAR un des lieux ressources majeurs en France dans le domaine du spectacle de rue.

C'est la reconnaissance du travail d'une équipe, professionnelle et bénévole, engagée, qui a su affronter les obstacles depuis plusieurs années. Né sous la forme d'une section d'activité de la MJC d'Annonay, le SOAR a d'abord été l'organisateur du festival annonéen des Arts de la Rue. Une réussite qui - sans nier les difficultés inhérentes à ce type de manifestations, attirait jusqu'à 50000 spectateurs en trois jours dans les rues d'Annonay. C'est ce festival qui a été supprimé par nos prédécesseurs en mairie d'Annonay au début des années 2000. L'équipe s'est réorganisées et a restructuré sa programmation avec l'appui des communes alentours. C'est devenu une programmation culturelle à l'échelle de tout le Nord Ardèche mais aussi du parc naturel régional du Pilat et des confins de la Drôme et de l'Isère.

En 2008, Annonay à retrouvé sa place dans cette programmation et aux côtés des partenaires que sont l'Etat, la Région et le Département.  

Aujourd'hui, le SOAR représente environ 8 emplois salaries et s'appuie sur de nombreux bénévoles pour animer et organiser sa programmation annuelle faite d'éclectisme et de qualité. C'est aussi un acteur important dans le monde des interventions scolaires et périscolaires mais aussi de plus en plus souvent dans le domaine du développement social urbain, au cœur des zones dites sensibles. Ruralité et urbanité sont investies par des compagnies, des sons, des images et des émotions.

C'est aussi une manière, pour la Ville par son inscription dans la programmation annuelle tant classique que scolaire, de poursuivre d'autres objectifs. En mettant la culture dans la rue, nous la mettons dans les têtes et les foyers. En faisant entrer la culture et les arts de la rue dans les écoles, nous donnons aux enfants des références que leurs familles n'auraient pu leur apporter. En amenant la culture sous les fenêtres et sous les yeux, nous provoquons la confrontation d’univers, de valeurs et de visions de la société. En provoquant ces rencontres, nous voulons faire naître des émotions et prend conscience de la richesse des altérités. De toute les altérités comme toutes les cultures.

Parfois dérangeant. Parfois cruel. Parfois émouvant. Chaque spectacle recèle son alchimie propose qui séduira ou pas l'œil qui l'observe et l'oreille qui l'entend. Nous poursuivons ces objectifs dans le domaine des arts de la rue comme dans les autres : art contemporain, musique actuelle, cinéma d'auteur, cirque, apprentissage de musique...notre ville est riche de structures culturelles fortes. Groupement d'art contemporain, MJC, Une Île au Large, Conservatoire municipal de musique...tous concourent à cette éducation ou cette ouverture culturelle de tous, petits et grands.

Un des fondements de mon engagement politique, le fondement principal même, est le combat pour l'égalité des chances. Trop souvent le destin semble être joué au berceau et la reproduction sociale est une constante de notre société. Les clefs de l'ascenseur social sont aussi dans la capacité des uns et des autres à maîtriser des références, des codes, reconnaître et appréhender des formes d'expression.

Modestement, avec nos moyens, nous y contribuons.

C'est là la raison de notre politique culturelle. Là qu'est notre volonté de considèrera la culture comme un outil de citoyenneté mais aussi un vecteur de démocratie. Sans égalité, la liberté ne reste qu'un mot et la marche vers l'égalité emprunte aussi le chemin de la connaissance et de l'ouverture. Hannah Arendt écrit, dans son ouvrage consacré au procès d'Eischmann, que c'est dans le vide des esprits que s'ancre le mal. Notre ambition est de ne pas le laisser s'ancrer. Notre but n'est pas de formater mais d'ouvrir et de construire des esprits critiques. Libres de leurs pensées et émancipes de tout préjugé. De donner aux uns et aux autres une possibilité supplémentaire d'échapper à la machine infernale du predeterminisme social, de l'autocensure qui légitime la violence symbolique d'une société qui disloque celles et ceux qui veulent s'écarter d'une route déjà tracée.

Le SOAR, par son action et ses valeurs, participe à cela. C'est la raison de notre soutien. C'est aussi la raison de cette reconnaissance nationale qui vient souligner l'excellence du travail réalisé tant en matière de programmation, de diffusion que d'aide à la création. C'est une reconnaissance qui honore tout un bassin de vie et toutes celles et ceux qui, depuis longtemps, parfois seuls et par tous les temps, ont accompagné cette belle aventure. Elle continue ! 

Un défilé du 14 juillet sous le soleil et en rendant hommage au courage des pompiers de l'Ardèche

C'est à Vanosc que nous nous sommes retrouvés cette année, tous les élus de la communauté de communes du bassin d'Annonay pour fêter le 14 juillet et assister au traditionnel défilé des pompiers du bassin.

Outre les médailles et les promotions traditionnelles mais méritées, c'était aussi l'occasion, localement, de marquer la remise au corps des sapeurs pompiers de l'Ardèche de la fourragère qui illustre la médaille collective reçue au titre des actes de courage et de dévouement. Notre plaisir collectif à être ensemble pour cette cérémonie illustrée notre attachement commun à la République et ses symboles.

Aux côtés de producteurs de cerises de l'Ardèche

A la suite des difficultés rencontrées par les producteurs de cerises, j'ai interpellé le Gouvernement par une question écrite au ministre de l'Agricultur :

Question n°: 27-00440 : M. Olivier Dussopt attire l’attention de Monsieur le Ministre de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt sur les difficultés rencontrées par les producteurs de cerises, notamment en Ardèche, et sur les revendications des organisations syndicales agricoles pour soutenir ce secteur d’activité. Ces derniers mois, les conditions météorologiques n’ont pas été favorables à la production de cerises et les fruits sont en faible quantité et souvent éclatés. Dans ce contexte, les producteurs rencontrent d’importants problèmes en matière de commercialisation. D’une part, les opérateurs économiques refusent les livraisons puisque le produit ne se vend pas. D’autre part, le prix payé au producteur - 0,80 €/kg – ne permet pas de couvrir les frais de production. La FDSEA 07 et JA 07 dénoncent fortement l’attitude des distributeurs à l’égard des producteurs de cerises mais aussi le poids des charges et des réglementations phyto-sanitaires qui induisent une distorsion de concurrence. Faute de mesures visant à soutenir les producteurs de cerises, les organisations syndicales agricoles craignent que ce secteur d’activité soit voué a disparaitre du paysage ardéchois. Une telle perspective aurait des conséquences négatives sur l’activité économique et l’emploi du département de l’Ardèche. C’est pourquoi, la FDSEA 07 et JA 07 réclament des mesures fortes pour garantir une juste répartition des marges entre les différents acteurs de la filière. Par ailleurs, ils demandent la mise en place de dispositifs fiscaux permettant de réduire les distorsions de concurrence afin que ce secteur puisse recouvrer sa compétitivité. Aussi, il lui demande de bien vouloir lui indiquer les mesures qu’il entend prendre pour répondre aux attentes des producteurs de cerises et soutenir ce secteur d’activité en difficulté et, plus largement, le monde agricole.

Un grand succès populaire pour l'Ardèchoise 2013

Sur quatre jours, ce sont plus de 13 000 cyclotouristes qui sont partis à l'assaut et à la découverte de la beauté des paysages ardéchois.

Cols, haltes gastronomiques, musique et déguisements...de la bonne humeur pour accueillir partout les amateurs de cyclotourisme et les inviter à révenir en Ardèche.

Surtout il ne faut pas oublier les plus de 8 000 bénévoles mobilisés partout sur le parcours et évidemment à St Félicien où, avec ma suppléante Michèle Victory, j'etais présent très tot ce samedi matin du grand départ pour encourager les participants dont le président Gérard Mistler.

Retour sur un week-end de juin en Ardèche

Dès vendredi, apres avoir comme la veille au collège Marie Curie de Tournon/Rhone présenté le rôle des parlementaires devant les élèves de 3e du collège de la Lombardière, je me suis rendu à Sint Cyr pour inaugurer la nouvelle mairie, la nouvelle bibliothèque et le restaurant scolaire, avant de rejoindre Annonay pour le vernissage du 1er salon international des arts du comité de jumelage qui a reuni artistes français, allemands et italiens.

Le samedi matin, c'est à Peyraud que j'étais présent à l'invitation du maire et de son équipe pour inaugurer la nouvelle boulangerie et l'école rénovée "La Pierre du Rhône".

A chacune de ses occasions, j'ai rappelé l'importance des efforts consentis par les collectivités locales pour la connaissance, l'éducation et le savoir. Dans une période troublée, où la haine ressurgit et amène à tuer, il est important de rappeler que ce qui fait l'Homme, c'est la culture. Cette capacité à se penser dans son environnement, à avoir une conscience et à développer des relations de différentes natures. Cette capacité aussi à comprendre et accepter les autres, dans toutes leurs différences. J'ai ainsi, à ces occasions, citer cette belle phrase d'Hannah Arendt, qui écrivait "C'est dans le vide de l'esprit que s'ancre le mal" pour soutenir les enseignants, les bénévoles, les élus dans leur mission d'instruction et de construction d'esprits libres et critiques.

Après ces moments officiels, j'ai eu le plaisir de visiter la belle exposition consacrée à l'aérostation au gymnase de Déomas à l'occasion des fêtes de l'air et de l'envol. Une belle retrospective et de belles pièces comme le simulateur de vol que j'ai testé et des élements du moteur de la fusée Ariane IV.

Le samedi soir, avec notamment Simon Plenet, conseiller général, nous nous sommes rendus aux 90 ans de la caserne de pompiers, tous volontaires, de Vocance. Une belle fête populaire, malgré la pluie, qui permet de mesurer l'attachement des habitants de la vallée de la Vocance à leurs pompiers.

Enfin, le dimanche a vu la reconstitution du 1er envol, reconstitution avortée du fait du vent et au désaroi du nombreux public présent. 

Le Premier Ministre, Jean-Marc Ayrault, à Annonay. Une visite historique pour notre ville et son bassin

Vendredi 31 mai, pour la première fois depuis la fondation de la 3^e République après 1870, un Premier Ministre en exercice était en visite à Annonay. J’ai eu le plaisir d’accueillir Jean-Marc Ayrault accompagne d’Arnaud Montebourg, Ministre du Redressement Productif, et de Michel Sapin, Ministre du Travail, de l’Emploi et de la Formation Professionnelle.

Nous avons tout d’abord visité Irisbus. Ce fut l’occasion pour le Premier Ministre de rencontrer les salariés et en particulier ceux qui viennent d’être embauchés. Le groupe Iveco a confirmé que 200 postes d’intérimaires sont transformés en CDI afin de pérenniser ces emplois et de parier sur la formation pour améliorer la qualité. Ce sont 200 familles du bassin d’Annonay qui sont ainsi sécurisées et cela est une très bonne nouvelle pour le tissu économique et social local.

La visite de l’atelier d’assemblage a aussi été l’occasion de découvrir la gamme des autobus et autocars fabriqués sur place, tout en soulignant l’obtention récente par Irisbus/Iveco du certificat garantissant une production 100% française, du châssis jusqu’à la finition ! Enfin, les membres du gouvernement ont pu échanger avec les principaux acheteurs français du marché de l’autobus. On pouvait ainsi noter la présence du directeur de cabinet du président de la RATP ou de représentants de Kéloys, invités par Pierre Lahutte, le Vice-président d’Iveco chargé du secteur autobus/autocars.  

Ensuite, c’est en mairie que nous nous sommes retrouvés pour une table ronde consacrée à l’emploi, réunissant les acteurs départementaux : service public de l’emploi, chambres consulaires, principales collectivités locales, mission locale, entreprises inscrites dans les dispositifs… Ce fut l’occasion d’un rapide bilan des quatre outils mis en place par le gouvernement : les emplois d’avenir, le contrat de génération, la banque publique d’investissement et le CICE (crédit d’impôt compétitivité).

A l'occasion de cette visite, le Premier Ministre a voulu souligner la compétitivité des entreprises industrielles du bassin, en notant en particulier que celles qui aujourd'hui retrouvent la croissance et recrutent sont celles qui ont innové et investi. Cela souligne encore plus la nécessité d'outils tels que la banque publique d'investissement ou le dispositif de préfinancement du CICE.

Enfin, le Premier Ministre, toujours en mairie à l'occasion d'un pot républicain, a adressé un message de mobilisation aux forces vives du bassin : entreprises, associations, corps constitués et élus locaux. Il a souligné combien il faut rester mobilisés face à la crise et appeler tous les présents à prendre leur part dans l’effort de redressement du pays. Un message combatif, pugnace et qui a été apprécié des présents.

Pour retrouver le reportage de France Bleu Drôme Ardèche :

Un samedi en Nord Ardèche!

Un samedi ensoleillé et joyeux que ce samedi 1^er juin. En effet, dès le matin, aux côtés du Sous-Préfet de Tournon/Rhône et de Michel Teston, Sénateur, nous nous sommes retrouvés nombreux à Roiffieux, à l’invitation de Maurice Berchu, Maire, pour une série d’inauguration.

Au hameau de Fély, qui regroupe près de 20% de la population réfocalienne, nous avons inauguré le jardin public Marcelle Pastré qui devient ainsi un lieu de rencontre et de convivialité pour tout le hameau. C’est la famille Pastré qui a cédé les terrains à la commune et c’est donc le nom de cette ancienne conseillère municipale, pendant près de 30 ans, que ce jardin portera. Nous avons ensuite salué la réalisation de deux ouvrages de voirie, que nous avons empruntée dans un bus « isobloc » de collection avant d’aller inaugurer la rénovation et l’agrandissement du gymnase de la Garde où se tenait aussi le moment officiel.

Après avoir célébré le mariage de mon ancienne collaboratrice en mairie, j’ai retrouvé au Parc Mignot l’opération « Tous aux jardins ». Après une visite du parc, guidée par Geneviève Sénéclauze, mémoire vivante de notre ville, nous avons pu découvrir le jardin partagé géré et animé par l’association des habitants des vieux quartiers sur une parcelle de terrain mise à disposition par la Ville et avec une cabane de jardin construite par les sections professionnelles du Lycée Cuminal (Boissy d’Anglas) mais aussi les projets de jardins collectifs notamment portés par les Centres Sociaux. A noter : le vendredi avait vu 250 scolaires visiter le parc dans le cadre d’une action d’éducation à l’environnement.

Avec Patrick Largeron, conseiller délégué aux espaces verts, mais aussi de nombreux élus municipaux et Simon Plenet, Conseiller Général, nous avons eu plaisir à souligner que toute la partie basse du parc (en contrebas des deux premières terrasse) était restée fermée au public plus de dix ans après la tempête de décembre 1999. Nous avons réaménagé et rénové cette partie, grâce au travail des services municipaux et en partenariat avec des centres formation, et le public a pu se réapproprier ce parc depuis 2011 avec notamment sa cascade, la ruche municipale, la bambouseraie….

Reportage dans le JT de TF1 du 30 mai - les maires face à la crise